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HCU_Theos

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Tout ce qui a été posté par HCU_Theos

  1. HCU_Theos

    Exprimons nous !

    Enfin de ce que j'ai lu ton anarchisme c'est de la branlette de mouche à la contestation chichiteuse, bien auto-centré sur ses velléités subversives. Tu sais t'es pas le seul anar pédant qui hante le net, proclamant aux mondes l'envers de son décor clinquant et pernicieux, exhibant aux pauvres moutons la pourriture de la société dans laquelle ils se complaisent, citant à tout va des répliques de Fight Club (fim culte des anarchistes tartufes) avec éloquence afin que son auditoire prenne bien la mesure de ce qui est dit : "Les choses que tu possèdes finissent par te posséder...". Yeah mec, montre nous la voie! Hum... c'est facile mais j'adore!
  2. HCU_Theos

    Exprimons nous !

    non mais vous inquiétez pas c'est juste de l'esbroufe anarchique, de la philosophie de comptoir pour béjaunes qui rêvent de révolution - mais bien au chaud dans leur lit.
  3. HCU_Theos

    Exprimons nous !

    J'espère que c'est de l'auto-dérision...
  4. Pour relayer darkxyde, je conseille fortement à tout cinéphile de se procurer d'urgence le dernier numéro des cahiers du cinéma. Il présente une interview de Tarantino de plus de 10 pages qui est simplement grisante, il parle de son cinéma aussi bien que des mecs comme Godard ou Hitchcock. Je sais bien que certains sont allergiques aux mags' qui ne font pas leur couv' sur la dernière bouse de Michael Bay (je l'ai pris au hasard...), qui n'offrent pas de posters et qui rédigent des critiques de plus d'une demi page, mais là ca vaut vraiment le cou(t)p.
  5. ...et vous? Ces clichés sont tirés de l'exposition "Turkey Cinemascope" réalisée par Ceylan - qui est aussi un réalisateur très intéressant (même si son dernier film est un poil trop... poseur). Le reste c'est ici
  6. Ouah! Vachement compliqués tes goûts j'avoue... Nous voilà bien avancés...
  7. C'est de la démagogie pour la bonne cause. Mais de la démagogie quand même. Rien que le terme "film-hommage" me donne la nausée, rien de pire que les hommages, ça pue le misérabilisme. Contrairement à ce que dit Lirix c'est un grand film qui a été couronné au César... Et puis avant de critiquer le cinéma français, ce serait déjà bien de le connaître.
  8. Qu'est-ce qu'il y a de si drôle? Explique, ça m'intéresse!
  9. Au contraire, c'est plutôt pathétique.
  10. Tu parles de quels films? Sinon Indigènes est une honte. Une honte parce qu'il se vend comme le film qu'il n'est pas. Il fait croire qu'il parle d'un problème grave alors qu'il ne fait que s'en servir comme alibi. Indigènes est simplement un film de propagande, il en utilise toute la rhétorique poussive. On voudrait le faire passer pour un film politique alors que c'est un banal film de guerre, correct, sans plus. Comme quoi il suffit juste de mettre des Arabes à la place d'Américains pour devenir un film bienséant, un film poignant qui fait prendre conscience d'une aberration. L'aberration c'est le film lui-même, qui s'écarte de son sujet quand au contraire son sujet a besoin de lui. On dit d'Indigènes que c'est un film grave, seulement lorsque gravité il risque d'y avoir, le film l'élude par une ellipse grossière. Le film veut critiquer l'Etat alors qu'il fait la même chose, tout ce dont quoi le film devait parler, 50 ans d'ingratitude tout de même,il le passe sous silence, comme l'Etat a voulu estomper le problème. Et c'est de cette politique ardente de dénégation que devait débattre Indigènes. Le film ment, c'est là ou il est abject, il lance à la figure du monde que les combattants africains méritaient leur pension parce qu'ils se sont bien battus, parce qu'ils aimaient la France, voulaient par dessus tout la défendre; et bien non c'est faux, archi-faux, les combattants africains méritaient leur pension car ils en avaient le droit, car c'était le devoir de la France de les rémunérer et pour rien de plus. Mais ça Indigènes l'oublie, trop occupé à faire son petit film de guerre... Indigènes c'est de la bonne démagogie, mais surement pas du bon cinéma.
  11. Windows en est bourré : ...
  12. Français ou pas, "La Môme" est médiocre. Américain ou pas, "Bug" est une bombe. Et en outre, il a coûté beacoup moins cher que le brouillon de Dahan.
  13. Nul, préférez "Bug" de Friedkin !
  14. "Mean Streets" de Martin Scorsese.
  15. loool en effet, je vous ai uni comme seule et unique personnage. Je mérite un blâme.
  16. Le cinéma c'est souvent nul mais qu'est-ce que j'aime le cinéma. Et puis allez McBlue, un peu d'humour!! D'autant que c'est toi qui m'a stigmatisé de "pathétique" et de "pitoyable".
  17. C'est même pas moralisateur, c'est débile et faux. Je respecte les avis des autes et j'adore le débat. De plus, le "je n'aime pas" qui doit se substituer au "c'est nul", ça c'est d'une banalité... La fausse politesse, c'est de l'hypocrisie, de la bienséance affectée.
  18. C'est déjà plus logique. C'est peu ou prou la même chose, c'est sous-entendu.
  19. Pathétique? Elle t'émeut tant que ça ma critique? C'est ce que j'ai dit, non? D'accord avec toi. N'exagérons rien, c'est un film nul, mais certains films nuls sont plus intéressants que certains bons films. Un peu quand même... C'est ce que j'ai dit, non? Le "très" est de trop. Le 5, contrairement aux idées reçus, n'étaient pas si nul. (par rapport aux autres en tout cas) Stallone a créé une figure intéressante (bien qu'idéologiquement d'un capitalisme à la ramasse), mais il n'a jamais fait un grand film.
  20. "Apocalypto" est nul, "Blood Diamond" est nul, "Rocky Balboa" est nul. Le second l'est plus que le premier dans la mesure où le premier est souvent risible alors que le second est obscène dans son traitement (la vie des africains c'est triste mais je kiffe la figurer). Pour le troisième c'est autre chose, c'est moins nul que pathétique, un film insignifiant mais tellement touchant dans son indigence. Stallone a toujours été un looser et il se l'avoue enfin, faisant de "Rocky Balboa" la résurgence bouffone du parangon du capitalisme moderne, qui ici se transforme en bête de foire bonne a s'en manger plein la gueule. Stallone croyait profondément au rêve américain, aujourd'hui il n'y croit plus.
  21. "The Insider" de Michael Mann. Pas son meilleur. C'est l'histoire d'un mec, il va dans un magasin de sport acheter une tenue de tennis, une raquette et une balle. Il se matte dans la glace et se trouve plutôt pas mal. Il décide alors d'aller dans le parc où siègent des terrains de tennis. C'est alors qu'il se met à tourner autour d'un terrain, se la jouant tennisman, faisant tournoyer sa raquette avec désinvolture. Il fait des tours, des tours, des tours, des tours, des tours... Et soudain, deux types arrivent et rentre sur le terrain de notre gentil tennisman. Et ils ont l'air con au premier abord ces deux types, c'est vrai quoi, ils sont sur un terrain de tennis, sans tenue, sans raquete, sans balle. Mais ils décident de jouer quand même, sans tenue, sans raquette, sans balle. Au début ça le fait marrer notre tennisman, deux mecs qui jouent au tennis, sans tenue, sans raquette sans balle, mais qui paradoxalement ont l'air de vraiment s'éclater. C'est alors que, gagné par une émotion violente, notre tennisman se met à méditer quelques secondes puis, le visage altéré par un affect douloureux, regarde sa tenue, sa raquette, sa balle, et se dit: "Merde alors, j'ai jamais joué au tennis." Alors bon, le film ne raconte pas tout à fait ça, mais un peu quand même...
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