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Cinéma : Et si on en parlait !


Soda

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Ou pas ^^

Sans vouloir te troll ou passer pour le rabat-joie, je reste sur ma faim moi, certes c'est drôle, jolie etc etc à certain moment, mais je ne suis pas fan.

Je vous entends déjà; "oui c'est un média différent du livre, etc etc", chose sur laquelle je suis d'accord avec vous, mais je n'adhère pas aux liberté prise. Bref, je reste sur ma faim

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Deuxième partie des billets sur la cinématographie dans The Incredibles.

Billet sur la gestion de l'espace dans Die Hard. Et sur les techniques de déplacement de l'armée israélienne en zone urbaine. Pour faire plaisir à L2.

Si vous ne l'avez pas déjà vu, il y a un making of de Gosei Sentai Dairanger (Plus ou moins la deuxième saison de Power Rangers) qui traîne sur le net. Leur technique est effarante et c'est très intéressant à voir si vous êtes un peu curieux.

Grâce à BH, j'ai revu Pacific Rim en commentaire audio cette fois-ci.

Comme d'habitude avec Del Toro, c'est passionnant de bout en bout. Il parle de mise en scène, des couleurs, de la lumière, des plans, des personnages, des acteurs, de l'animation, des effets spéciaux, des décors, de la (conversion) 3D, du kaiju eiga/tokuhatsu (surtout et beaucoup de Godzilla), des robots (Mazinger Z et Tetsujin 28).

Comme le disait cet article, la narration du film passe énormément par le visuel et les couleurs, par exemple le bleu qui représente le passé de Maiko, ou le rouge et l'or (la chaussure, la salle d'entraînement, le réacteur de Gibsy Danger) qui représente le coeur.

Le film est construit comme un film de sport avec les mêmes éléments et moments clés : présentation des équipes, le premier match est un échec, baston dans les vestiaires, Raleigh est le type qui revient après une chute en pleine gloire, etc.

On l'a déjà dit mais le film brasse volontairement toutes les nationalités et les genres dans son cast comme dans ses villes : avec HK, Sydney, San Francisco, Tokyo… Il ne se concentre pas sur New York ou Washington DC.

Du coup, comme dans un sport en équipe, les différents personnages issus d'horizons différents ne vainquent l'ennemi qu'en étant en équipe, en faisant confiance à l'autre.

Par contre, je ne sais pas si c'était la séance 3D au cinoche, le réglage par dessus la jambe de ma TV ou ma concentration sur l'audio parce que WB n'ont pas mis de sous-titres pour les commentaires audio, mais j'ai trouvé les séquences de fight plus lisibles que dans mes souvenirs.

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Ton lien sur Die Hard marche pas.

Je suis absolument dégoûté qu'il n'y ai pas les sous-titres du commentaire. Dire que j'ai dépensé 40€ dans une édition de fou et que je n'ai même pas le droit à cela. Celui du Labyrinthe de Pan était tellement riche... Une véritable auto-analyse.

Pour ce qui est de la lisibilité des combats, je crois que la taille de l'écran joue beaucoup. Plus c'est grand, moins c'est lisible. Sur mon 107cm je n'en loupe pas une miette alors qu'en Imax je comprenais un plan sur deux.

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Je pense que c'est typiquement le genre de film (j'irais même jusqu'à dire "trilogie") qu'il faut laisser le temps de mûrir, tellement le résultat est différent des attentes que l'on pouvait avoir. Et je pense que c'est pour le meilleur.

Exact.

Je reviens tout juste du visionnage du Hobbit 2 en 3d VO avec un pote. Je l'ai trouvé juste sublime! Le parfait exemple du cinéma populaire, mais avec une certaine épaisseur pour qui sait lire entre les lignes. J'ai curieusement l'impression d'avoir à faire à un film d'auteur, mais avec un budget de blockbuster tellement ont sent Jackson accro à ces ambiances sombres, ces couleurs d'automne qui annoncent le Seigneur. Bel hommage au cinéma expressionniste allemand, belle gestion des gammes cendrée/vertes.

Je trouve qu'il maîtrise mieux son rythme par rapport au Seigneur (normal vu que le récit du livre est moins dense), il y a moins de second degré, curieusement d'ailleurs. Et quelle maîtrise dans la gestion de la caméra bordel! Et il en faut pour être capable de raconter sur 3fois 3h un récit bien moins riche que celui du Seigneur. La séquence de fin avec le Dragon, mais quel pied cinématographique bordel! A part Spielberg, très peu son capables de tenir en haleine comme ça, avec aussi peu d'éléments de scénario. Du pure cinéma!

Et en ce qui concerne les différences par rapport au livre, et même si je comprends tout à fait les fans des bouquins, je pense qu'il est indispensable pour un réalisateur de s'approprier l'oeuvre. C'est SA vision du récit. Maintenant, certaines créations passeront mieux que d'autres auprès des fans, tandis que d'autres me semblent justifiées. Par exemple la rencontre entre Gandalf et proto-Sauron était pour moi indispensable.

Je m'explique. Comme c'est très bien expliqué dans le film (dans la partie chez le elfs), le MAL est quelque chose de latent. Il ne disparaît jamais complètement. Si effectivement le récit du Hobbit était avant tout conçu comme un conte destiné aux enfants, Sauron était néanmoins sous entendu par le biais du Dragon. Les 2 entités, symboles de feu, renvoient directement à l'Industrie. Sans parler de l'anneau. Montrer le Sauron d'avant le Seigneur était une bonne idée, au delà de pouvoir relier les 2 trilogies auprès du grand public pas forcément connaisseur de Tolkien.

Et puis, faut dire que cette rencontre fut l'occasion d'un des plus beaux travellings-avant métaphysiques de l'histoire du cinéma. J'ai grave kiffé la façon dont Jackson a donné forme....à l'Informe, c'est à dire le MAL. Cette plongée, en miroir, dans la rétine de la rétine de la rétine de l’œil, qui est en même temps rétine et corps incarné, c'était juste Wow! Jackson a parfaitement réussit à visualiser et à restituer d'un point de vue visuel ce que Tolkien a décrit dans son oeuvre à propos du mal. Car au fond, on peut considérer que l'ensemble de son oeuvre ne porte presque que sur un seul thème : la Mort! En fait c'est une généalogie du MAL et de la MORT qui constitue toute l'ossature de l'oeuvre de Tolkien, peuplée de guerres, de héros, et de cultures qui s'éteignent les unes après les autres. C'est un réel plaisir de voir qu'il aussi su retranscrire un autre des éléments fondateurs de l'oeuvre : la capacité de séduction du mal! Car en usant avec beaucoup de maîtrise tout l'arsenal cinéphilie du film romantique allemand, on a rarement vu le mal et la mort être aussi "beaux" à l'écran. Hors cette capacité de séduction est indispensable si l'on souhaite comprendre comment Tolkien concevait le rapport de l'Homme au Pouvoir.

Je crois que j'y retourne demain pour un deuxième visionnage. Je précise que je ne suis pas un fondu inconditionnel de Tolkien, que j'ai découvert essentiellement après avoir vu les 1ere trilogie de Jackson. Et au fond c'est pas plus mal, puisque ça me permet de juger chacun des 2 supports pour ce qu'ils sont.

PS : oubliez la VF. je l'ai vue en piraté (par curiosité).....c'est un MASSACRE !!!!!!!!! Les gens qui doublent n'ont aucune putain d'idée du registre dramatique à adopter avec ce type de films. C'est une honte! Pas la pleine de casser le film si c'est en se basant sur une VF.

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Les deux épisodes du Hobbit sont bien au-dessus du Seigneur des Anneaux en terme de mise-en-scène.

Jackson a su évoluer, bien dommage que le public ne le suive pas.

Le dernier Opé Frisson cause de la version longue du Voyage Inattendu, c'est cool !

Sinon, je ne peux que vous recommander très chaudement le Loup de Wall Street, dernier film du grand Martin qui est totalement dingue de virtuosité, d'efficacité et de générosité. Le film passe très vite (alors qu'il est d'une durée conséquente) et est très riche. C'est un énorme conseil que je vous donne d'aller le découvrir en salle... C'est une nouvelle claque en cette jolie année 2013 !

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La version longue du Hobbit me tente aussi.

Plus de chansons, des nains à poil et de nombreuses autres blagues qui vont avec le parti pris "comédie/enfantin" du premier volet.

Absolument rien d'essentiel. Version longue très dispensable à côté de celle du Seigneur des Anneaux.

Albator, j'avais prévu d'y faire un tour, oui !

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Perso, j'attendrai 2015 qu'un coffret trilogie du même genre que LOTR soit dispo pour Le Hobbit.

Techniquement, y'aura rien de plus que les trois éditions "version longue" qu'ils vont nous faire à chaque fin d'année.

La version longue (au choix DVD/Blu-ray/Blu-ray 3D) + deux parties d'appendices.

Sauf si tu souhaites un joli packaging et que tu arrives à attendre deux bonnes années (c'est déjà dur d'attendre un an), alors okay ^^

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Sinon, je recopies mon Bilan 2013 que j'ai déjà posté ici :

Je n'ai malheureusement pas pu voir tout ce que je souhaitais cette année, mais globalement, ça donne ça :

10 - ex æquo :

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Pain & Gain de Michael Bay

et

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Evil Dead de Fede Alvarez

Je les mets ex æquo dans mon classement car, franchement, ce sont d'excellentes surprises qui me semblaient perdues d'avance sur le papier ("nouveau film de Michael Bay" et "remake d'Evil Dead sans Sam Raimi à la réal et Bruce Campbell dans le casting") et qui finalement m'ont bien mis sur le cul, avec le sourire jusqu'aux oreilles !

9 -

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Django Unchained de Quentin Tarantino

Même si l'homme m'énerve de plus en plus, j'avoue toujours prendre un plaisir jouissif devant ses films, et après tout, je ne lui demande rien de plus ! S'il ajoute à cela un Leo en bad guy, je dis oui !

8 -

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The Wolf of Wall Street de Martin Scorsese

Je triche un peu, il est vrai, je sors à peine de la séance de cinéma... Mais c'était tellement virtuose, que je le mets direct huitième en espérant que le temps ne change pas mon bel engouement.

7 -

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Lincoln de Steven Spielberg

Spielberg... Daniel Day-Lewis... Lincoln... What Else ?

6 -

snowpiercer-11022232qrmzw.jpg?v=3

Snowpiercer de Bong Joon Ho

Quel merveilleux film... D'une richesse incroyable et d'une de ces grâces... Tout est ritualisé à l'extrême sur une photographie somptueuse... C'est ça l'art, les mecs !

5 -

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The World's End d'Edgar Wright

Je l'attendais comme un petit fou et je ne suis pas déçu ! Le plus fou de la trilogie Cornetto ! Impressionnant en tout point ! Merci, merci et encore merci Edgar Wright ! J'en veux encore !!

4 -

the-hobbit-2-650x415.jpg

The Hobbit : The Desolation of Smaug de Peter Jackson

C'est fou le chemin parcouru par l'ami Pete... Lorsque j'ai des frissons à chaque séquence et que je n'ai qu'une envie, c'est d'y retourner, il est certain que le film est un coup de cœur immense...

1 - ex æquo

14ATLAS_SPAN-articleLarge.jpg

Cloud Atlas des Wachowski (oui je sais sorti aux USA en 2012 mais voilà, je l'ai découvert en 2013, comme la sortie officielle en France, na !)

pacific-rim-from-the-sky.jpg

Pacific Rim de Guillermo Del Toro

gravity-venice-film-festival-2013-premiere-inside3.jpg

Gravity d'Alfonso Cuarón

J'ai été absolument incapable de faire un podium, ces trois là ont tellement été une claque monumentale dans la gueule qu'ils m'ont tous trois envoyé en orbite (ce qui collait plus ou moins au sens du film, lol, mdr, ptdr,   et plus). Les Wacho et Del Toro étant déjà probablement mes réalisateurs vivants préférés, là j'avoue qu'ils ne m'ont pas déçu avec d'un côté une fresque incroyable qui engendre en moi un tourbillon d'émotion, qui me fait toucher du doigt quelque chose d'universel mais pourtant de très intime, et de l'autre un fantasme de fanboy porté à l'écran avec tout le talent et le style si caractéristique du génie Mexicain. Mais vient s'ajouter à lui son pote l'autre génie Mexicain, qui accouche là d'un film qui dit "fuck ce que vous connaissiez, maintenant c'est moi qui écrit la grammaire cinématographique", le tout en s'appuyant sur une peur profonde que nous avons certainement déjà tous voulu voir sur un écran géant et qui me fait penser tout du long au meilleur film de tous les temps, celui que j'ai en avatar (c'était un message de l'objectivité incarnée :D ). Que ce soit six vies à six époques reliées par l'amour, des mégas robots qui pètent la gueule à des mégas monstres ou une Sandra qui fait des saltos pendant 1h30, ce fut d'immenses moments de cinéma. Voilà, trois films de dingue, envoûtants, passionnants, destructeurs, qui sont si différents qu'ils emportent tous la même place dans mon petit cœur.

En tout cas, je trouve que nous avons été très gâtés cette année ! Et que je me demande bien comment les films de 2014 vont s'en sortir pour passer après eux...

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Ouai, comme pour chaque Seigneur des Anneaux.

Celles du ciné sont les courtes ou longues ?

PS : oubliez la VF. je l'ai vue en piraté (par curiosité).....c'est un MASSACRE !!!!!!!!! Les gens qui doublent n'ont aucune putain d'idée du registre dramatique à adopter avec ce type de films. C'est une honte! Pas la pleine de casser le film si c'est en se basant sur une VF.

Je l'ai vu en VO moi. Pourtant les VF du premier opus et des LOTR étaient vraiment pas mal, bizarre.

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Les doublages en piraté sont parfois différents des doublages officiels. Mais je suis d'accord avec toi Redko, la VF est juste... L'accent forcé des nains roulant leur 'R' ... dégueulasse. Peut-être parce presque aucun accent français semblable à ça existe, c'est tellement cramé que ça sonne artificiel.

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